Cette nuit, j'ai rêvé que...

Cette nuit, j’ai rêvé que je mettais au point un concept révolutionnaire en matière de littérature. Enfin, c’est plutôt mon inconscient qui a pondu ce truc. Par conséquent, il ne faudra pas lui en vouloir (à mon inconscient, essayez un peu de suivre !) si au final ça ne devient pas un concept révolutionnaire. 

Il ne faudra pas non plus m’en vouloir si l’idée a déjà été exploitée. Comme parfois il m’arrive de dormir (ne serait-ce que pour rêver et vous raconter des histoires, le monde est bien fait), je n’ai pas les capacités surhumaines de TOUT lire. Ni en numérique, ni sur papier. Que celui qui peut prétendre le contraire me jette la première pierre ! Il est donc possible que quelqu'un ait eu cette idée ingénieuse avant moi. Mais je m'en moque : je ne le connais pas. Et vous non plus, sinon parce que je vous ai parlé de lui.

Ceci dit, un jour, je suis persuadée que j’écrirai un texte que quelqu’un a déjà écrit. Et pourtant, je serai convaincue d’avoir sorti un texte hors du commun. A l’instar du type ou de la bonne femme qui l’aura écrit avant moi.

Bref, le déjà écrit, ça doit aussi faire partie du processus de création… Dans ma grandeur d'âme (et ma légendaire modestie), je l'accepte. Mais peut-être qu’en criant haut et fort qu’on a inventé un concept, on invente vraiment un concept.

Bref (oui, je sais, je ne devrais pas abuser de ce lien logique qui, même si à la base il n’est qu’un lien logique, est aussi devenu un concept à part entière) aujourd’hui, je clame haut et fort que je lance sur ce blog le concept du « Cette nuit, j’ai rêvé que… ».

Le principe est simple : pour rentabiliser mes nuits mouvementées (d'aucuns diront encore que je ne suis pas toute seule dans ma tête), je me propose de publier sur ce blog un petit texte, chaque vendredi, pour bien commencer le week-end, commençant par « Cette nuit, j’ai rêvé que… ». Pour ceux qui me connaissent un peu, évidemment ce sera décalé. Féroce. Drôle peut-être. Parfois.

Après, libre à vous d’aimer (ou pas), de commenter (ou pas), de partager (ou pas), … mais évidemment, le plus serait le mieux.

Allez j'arrête mes digressions stupides et vous souhaite d'agréables lectures vendrediesques… 

Justine