Extrait de roman :
"A rats qui rient, raies qui aiment"

À rats qui rient, raies qui aiment est une messe pour les morts un peu particulière. N’y seront célébrés que ceux qui se sont un jour illustrés par la stupidité de leur trépas. Un plongeur retrouvé empalé au faîte d’un sapin, une miss qui se noie dans un mètre d’eau à Knokke-le-Zoute, une violoniste à l’archet un peu trop vigoureux, ... Le chef d’orchestre de cette vaste fumisterie, c’est Simon Faucher. Écrivain raté, il n’a pas hérité du génie de Wolfgang Amadeus Mozart. À cent trois ans, il serait en effet présomptueux de se vanter d’un talent précoce ! Pourtant, Simon Faucher n’hésite pas à se revendiquer du musicien autri­­chien : comme Mozart, il va défier la mort, baptisée Jeanine pour l’occasion. Le vieil homme espère bien qu’en échange la grande faucheuse daignera s’occuper de son cas. Mais n’est pas Mozart qui veut…

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Deuxième roman
Éditions Luce Wilquin, mars 2014
Extrait : pp. 74-85
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