Bonjour à vous, fidèles déçus (et patients) du vendredi,

Il fallait un petit temps d'adaptation à mes nouvelles très chouettes fonctions, mais ça y est, JE SUIS DE RETOUR sur mon blog !

J'entends déjà les enfants qui pleurnichent dans les chaumières, les chouettes qui hululent, les hérons qui huent, et les loups qui hurlent de désarroi. Ben, j'vais vous dire, les gars, j'm'en moque : on peut bien passer en revue tous les cris d'animaux, ça ne m'arrêtera pas ! Il parait que la connerie humaine n'a pas de limites. Je m'en tiendrai donc à cet adage pour illustrer mon retour et, surtout, le texte de ce vendredi (TEXTE 19 : Cette nuit, j’ai rêvé que… il valait mieux la fermer et passer pour un con que l’ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet) que vous pouvez découvrir sous ce lien.

Quelque chose me dit qu'il devrait connaitre de nombreuses suites tant la matière se renouvelle de jour en jour...

Allez, je vous souhaite une bonne lecture et continuez à commenter surtout : vous lire, c'est ma petite récompense suite à la publication de ces textes du vendredi.

A bientôt,

Justine